An aerial view shows acid mine drainage gathering near from house in Snake Park, an impoverished informal settlement on the fringe of one of the biggest mine dumps in Soweto, Johannesburg, on Nov 14, 2020. More than five thousand South Africans live at the foot of mine dumps compiled of mining waste. Wastiges of the gold mining past that has enriched the country but now threatens the stream of water which is connected with the Klip River, the main river draining the portion of Johannesburg south of the Witwatersrand, and its basin including the Johannesburg CBD and Soweto, that is also connected to the Vaal River.
L'œuvre minimale de l'artiste Nadia Kaabi-Linke porte sur une quantité limitée d'eau contenue dans 70 centimètres carrés, mais donnant l'illusion de l'infini grâce à une construction réfléchie de miroirs sans tain, de verre et de lumière, de sorte que le spectateur voit l'eau s'étendre à l'infini sans voir son reflet à lui.
Horizons d’eaux
La 5ème édition d’Horizons d’eaux. Parcours d’art contemporain et d’art vivant sur le canal de Midi a cette année pour thème Les esprits de l’eau et prend place dans le cadre de la Saison Africa2020. Dans un esprit de partage, d’expérimentations, de rencontres autour de l’art contemporain et de la musique ce programme réunit une création sur une péniche navigante confiée à l’artiste égyptien Samuel El Kordy et des expositions organisées par la commissaire égyptienne Heba elCheikh.
"Dans les expositions de "Les Esprits de l’eau", nous cherchons à saisir ce qui nous lie au canal et nous invitons le public à le faire avec nous. Observer pour comprendre les lois de l'eau, son écoulement, son flottement, sa précipitation et sa lenteur, mais aussi son reflet, ainsi que ses propres moyens de mettre à l'échelle nos perceptions sensorielles humaines." Heba elCheikh
Ces expositions, qui se déroulent dans le cadre de la Saison Africa2020, sont conçues autour des grands défis du XXIe siècle et présentent les points de vue des artistes africains et de la diaspora.
"Au commencement, il y avait un fleuve. La rivière est devenue une route et la route s'est ramifiée au monde entier. Et parce que la route était autrefois une rivière, elle était toujours affamée. Dans le pays, au début, les esprits se mêlaient aux enfants à naître." Ben Okri, La route de la famine, 1991.